Maudit soit internet. Avant, il y avait la télé, c'est vrai, mais la télé on pouvait l'ignorer, faire l'amour devant même. La télé, c'était personne, Internet c'est tout le monde. On n'est jamais entre nous, jamais tranquilles, jamais seuls. Je ne dis pas que c'était mieux avant, je dis que c'est pire maintenant. (p. 86)