La nouveauté dans la presse, au début de la campagne de 1812, tient au fait que Napoléon s'efforçait de prouver que le climat n'était pas si vigoureux en Russie, et ce afin de rassurer ses compatriotes.
Mais à la fin de la campagne, l'empereur adopta un point de vue opposé en estimant que l'hiver russe était seul responsable de la débâcle de son armée.
Cette interprétation climatique a permis de préserver le mythe de l'invincibilité de Napoléon.