Le voyage dura de longues heures, et j’en ressentis une impression pénible, au sein de cette chair humaine sale et malodorante, où le moindre geste de chacun provoquait un grognement de l’autre.
C’était humiliant, révoltant, indigne d’êtres civilisés, mais je me demande encore si la civilisation est faite pour ennoblir l’individu, quel qu’il soit.