p. 244 Il y avait aussi le désagrément de sortir du cocon douillet, chaud, paralysant de la soumission à l’ordre établi que le Japon tisse autour de son peuple, une gangue souple et étroite où la contrainte est inséparable du sentiment d’être bien protégé, et où la machinerie de la coercition a rarement besoin d’être appliquée de l’extérieur puisqu’elle est si efficacement intériorisée dans l’esprit de chacun.