Les humiliations étaient légion dans les affaires d’homicide, mais il y avait dans cette nudité un ultime avilissement qui résonnait comme un message adressé par le tueur à la face du monde, un communiqué annonçant que l’histoire ne s’arrêtait pas à l’humiliation infligée par une mort violente. En général, on ne se contentait pas de mourir dans ce monde. On vous y retrouvait mort.