Rie Honjoh

Welcome to the Chemistry Lab est une œuvre confuse, peu aboutie, qui aurait pourtant mérité d'être développée. Outre les erreurs d'impression du premier volume qui propose le même dialogue dans deux situations différentes, la relation entre Kôsuke et Ryôichi n'est pas évidente à cerner. le professeur a des penchants sado-maso qui ne semblent pas susciter la moindre réaction chez son amant, qu'il "dresse" à satisfaire ses moindres caprices. Et quand il le sent prêt, il l'abandonne en lui faisant promettre de tout faire pour le retrouver. Cette quête prendra de nombreuses années au jeune homme qui ne se découragera pourtant jamais, sans que le lecteur ne participe à ses état d'âme ou ses interrogations.



Shibaura est un personnages cruel et méprisable, et la relation entre ses deux personnages principaux se base finalement sur un sentiments amoureux auxquels la haine se mêle étroitement. Bien que l'idée soit intéressante, elle est peine évoquée dans le deuxième tome qui ne comprend qu'un seul chapitre sur le couple Kôsuke/Shiba.

Parallèlement, on suit les débuts d'un autre couple, Shuri et Kobayashi, respectivement le frère ainé et le meilleur ami de Handa. Bien que classique , la relation entre les deux hommes est très attendrissante.



À l'origine, Welcome to the Chemistry Lab était un one-shot, mais Rie Honjoh a finalement écrit un deuxième tome quelques mois plus tard pour satisfaire ses fans. Malheureusement, comme beaucoup de suites non prévues, qui plus est pour un manga présentant peu d'intérêt à la base, la suite est lamentable. L'auteur nous sert un premier chapitre où un malaise venu d'on-ne-sait-où s'est installé entre Shuri et Kobayashi ; en suite, lors d'une bref aparté, Shiba fait une apparition qui n'apporte rien au récit ; puis le lecteur retrouve Kôsuke des années plus tard après le départ de son grand amour. le livre se conclut sur une histoire indépendante n'ayant rien à voir avec la chimie, et écrite au début de la carrière de la mangaka, mais sans doute la plus touchante par sa simplicité.



Dans ses dessins, Rie Honjoh joue beaucoup sur les regards de ses protagonistes, mais cela ne suffit pas à faire oublier la pauvreté des décors et de la mise en page. La mangaka propose habituellement des scénarios plus tendres, aux personnages mignons et attendrissants, pleins d'émotion. Ce qui n'est pas le cas avec ce titre.
Lien : http://biblio-steph.over-blo..

Welcome to the Chemistry Lab est une œuvre confuse, peu aboutie, qui aurait pourtant mérité d’être développée. Outre les erreurs d’impression du premier volume qui propose le même dialogue dans deux situations différentes, la relation entre Kôsuke et Ryôichi n’est pas évidente à cerner. Le professeur a des penchants sado-maso qui ne semblent pas susciter la moindre réaction chez son amant, qu’il "dresse" à satisfaire ses moindres caprices. Et quand il le sent prêt, il l’abandonne en lui faisant promettre de tout faire pour le retrouver. Cette quête prendra de nombreuses années au jeune homme qui ne se découragera pourtant jamais, sans que le lecteur ne participe à ses état d’âme ou ses interrogations.



Shibaura est un personnages cruel et méprisable, et la relation entre ses deux personnages principaux se base finalement sur un sentiments amoureux auxquels la haine se mêle étroitement. Bien que l’idée soit intéressante, elle est peine évoquée dans le deuxième tome qui ne comprend qu’un seul chapitre sur le couple Kôsuke/Shiba.



Parallèlement, on suit les débuts d’un autre couple, Shuri et Kobayashi, respectivement le frère ainé et le meilleur ami de Handa. Bien que classique , la relation entre les deux hommes est très attendrissante.



À l’origine, Welcome to the Chemistry Lab était un one-shot, mais Rie Honjoh a finalement écrit un deuxième tome quelques mois plus tard pour satisfaire ses fans. Malheureusement, comme beaucoup de suites non prévues, qui plus est pour un manga présentant peu d’intérêt à la base, la suite est lamentable. L’auteur nous sert un premier chapitre où un malaise venu d’on-ne-sait-où s’est installé entre Shuri et Kobayashi ; en suite, lors d’une bref aparté, Shiba fait une apparition qui n’apporte rien au récit ; puis le lecteur retrouve Kôsuke des années plus tard après le départ de son grand amour. Le livre se conclut sur une histoire indépendante n’ayant rien à voir avec la chimie, et écrite au début de la carrière de la mangaka, mais sans doute la plus touchante par sa simplicité.



Dans ses dessins, Rie Honjoh joue beaucoup sur les regards de ses protagonistes, mais cela ne suffit pas à faire oublier la pauvreté des décors et de la mise en page. La mangaka propose habituellement des scénarios plus tendres, aux personnages mignons et attendrissants, pleins d’émotion. Ce qui n’est pas le cas avec ce titre.
Lien : http://biblio-steph.over-blo..

Sublime histoire d'amour qui transforme les personnages. Une belle leçon de vie et de tolérance dans ce manga rondement mené par une super mangaka.

Elle n'oublie pas un des ingrédients indispensable du yaoi avec des scènes de sexe présente mais que j'ai trouvé remplies de sensualité.

Un manga qui ne révolutionnera pas le genre Yaoï. Les histoires sont dépourvues d’intrigues qui surprennent et innovent, se soldant toutes par des scènes érotiques. Ça reste visuellement très beau.



Un livre qui ne sera pas inoubliable pour moi, à réserver aux fans inconditionnelles de ce genre d’histoire, ne souhaitant pas se prendre la tête et passer un bon moment de détente.

Rie Honjoh est un auteur que j'aime bien. Même si, de temps en temps, j'aimerai bien que ces histoires soient un peu plus développées, ça reste des lectures agréables.