Sur ce, il ôtait sa ceinture et se mettait en devoir de me simuler l’esprit. Parce que papa avait ses idées à lui en matière de psychologie pratique. Il était persuadé, notamment, que le réchauffement du grand fessier au moyen d’une courroie de cuir soulageait la cervelle des jeunes garçons d’un excès de sang.