Si les deux plus jeunes demoiselles étaient toujours prêtes à discuter d'un point de mon costume, c'est parce que cela s'accordait avec leurs préoccupations habituelles. Par ailleurs, elles ne semblaient pas s'apercevoir le moins du monde de ma présence ; toujours plus que jolies, avec une sorte de cordialité sans cœur, elles ne cachaient cependant pas à quel point je les ennuyais.
Seconde partie : Catriona