Sous l'improvisation démoniaque que le vent imposait à sa structure, Mingming est devenu une grande harpe éolienne, une table d'harmonie, un tambour bien tendu, des cymbales, des maracas, des castagnettes, un basson et un violon tzigane. Et le vent ne s'est pas fatigué de son petit jeu ; il a continué encore et encore, sans relâche.