Comme il n'y avait pas de wharf, il a fallu recommencer les mêmes manœuvres qu'à la Grande-Terre : porter les gens et les marchandises, traîner les animaux, etc. La mer était forte. J'étais épuisé, vaguement malade. Un petit cheval m'attendait. Je songeais au petit presbytère là-haut, jusqu'où j'allais monter.