Fidèlement, le corps exécute les ordres qu’on lui donne. Il se prête aux tâches les plus abjectes sans émettre une protestation. Lorsqu’il a fini de servir un maître, il devient l’instrument d’un autre. Le cauchemar se renouvelle toutes les trois heures, mais, pour Joko, le temps n’existe plus. Il n’y a que la réalité. Elle est tellement salissante qu’il n’arrête pas de nettoyer.