L'état dans lequel j'avais laissé Madame Rosa me donnait encore la chair de poule, rien qu'à y penser. C'était déjà terrible de la voir mourir peu à peu sans connaissance de cause, mais à poil avec un sourire cochon, ses quatre-vingt-quinze kilos qui attendent le client et un cul qui n'a plus rien d'humain, c'était quelque chose qui exigeait des lois pour mettre fin à ses souffrances.