"On ne dialogue pas avec des fanatiques, on ne prône pas le compromis ni le souci de paix ou du plus grand nombre avec des hommes qui n'entendent que le langage de la force, et qui le revendiquent. Au lieu de cela, pardonne-moi l'expression : on leur fracasse le crâne ! Il est un moment où, pour se sauver, la démocratie elle-même, n'a plus d'autre choix que d'user des armes de la dictature."