Quand nous entrions dans un village où un massacre avait été perpétré, même les oiseaux se taisaient. Le silence était proprement assourdissant. Doucement, nous faisions le tour des cadavres dans le vain espoir de trouver des survivants, nous arrêtant parfois pour baisser une jupe tachée de sang ou tourner un petit corps brisé vers celui de sa mère.