[…] il est tout de même étonnant que ces plantes [psychotropes] produisent des molécules (DMT) qui ne semblent pas, au jour d’aujourd’hui, avoir de fonction pour elles-mêmes et qui viennent se loger dans les récepteurs (ceux de la sérotonine) les plus sensibles du cerveau des mammifères. Serions-nous « construits » pour dialoguer ensemble ?
[Préface de Jan Kounen]