Cyrille, il disait que la mer se suffisait à elle-même, et qu'elle nous suffisait. Il disait que, face aux vagues, le mensonge s'essoufflait à trop se débattre et coulait à pic. Il ajoutait que seuls les gestes francs nous sauvaient quand le vent se levait et mettait des nœuds plein nos voiles.