On est comme on naît, et ce n'est pas quelque chose dont on se défait facilement. On aimerait bien y croire - après tout, c'est l'essence du rêve américain -, mais la vérité, c'est que, même si on fait fortune, on ne pourra jamais acheter l'aisance de ceux qui sont nés riches. Il ne suffit pas d'enfiler des fringues de luxe. Un pauvre qui a réussi pensera toujours comme un pauvre. Ses rêves resteront des rêves de pauvre, et ses désirs des désirs de pauvre.