L’odeur de la pluie éveille toujours chez lui la nostalgie d’une époque révolue de sa vie, d’un temps plus innocent. Et à plus forte raison un jour comme celui-là, où rien ne va. Disparue, la petite vie – étriquée, certes, mais douillette – qu’il menait depuis trois ans, comme volatilisée sous la cape d’un magicien.
Adieu, petit lapin.
Chapitre 25. &1