Avec le temps, nous avons mis en place un système plus ou moins scientifique. Quand une accalmie survenait dans l’appartement du journaliste, nous allumions la musique. Quand la gosse pleurait, nous l’éteignions. D’une façon ou d’une autre, le silence était banni de la vie d’Anton. Même sa fille œuvrait désormais en notre faveur.