C'est drôle comme les jeunes se figurent que nous ne savons rien. Ils partent du principe que nous ne pouvons absolument pas comprendre la douleur d'un chagrin ou la pression liée à l'achat d'une maison. Que nous ne pouvons pas comprendre le drame de l'infertilité ou la dépression. Pour eux, si nous avons vécu de telles choses, ce devait être de façon moins forte, en teinte sépia, et non des expériences comparables aux leurs.