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3.74/5 (sur 82 notes)

Nationalité : Danemark
Né(e) à : Copenhague , le 06/08/1964
Biographie :

Auteure danoise de romans policiers.

En 1993, elle créa la maison d'édition "Sara B." pour publier des traductions danoises de romans policiers américains.
A partir de 1995, elle se lança dans le journalisme.

En 2004, elle publie son premier roman "Grønt Støv" (Green Dust) qui remporta la prix "Danish Crime Academy" du premier roman.

Site : http://sarablaedel.hbgusa.com/

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Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
On a la chair de poule rien que de penser à ce que les gens ont pu endurer dans ce fauteuil...Il paraît que le dentiste n'employait aucun anesthésiant. A la place, il ligotait ses patients avant de les traiter.
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Les hommes sont de vrais gamins quand ils ont un pet de travers.
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Soit il était habitué à tirer des coups vite fait quand il était au bureau, soit le désir charnel était pour lui une chose aussi naturelle que de ne pas porter de slip.
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Elle se mit à pleurer comme une enfant en poussant de longs sanglots déchirants. Louise sentit des frissons lui parcourir la colonne vertébrale. Elle rapprocha sa chaise de la table et posa sa main sur celle d'Edith Rosen. Il se passa un petit moment avant que la vieille femme ne s'éclaircisse la voix et regarde à nouveau son interlocutrice.
- Vous voulez bien me dire ce qui est arrivé ? lui demanda Louise. C'est Important.
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Quatre jours. C'était le temps qui s'était écoulé depuis qu'on avait découvert le corps de la femme dans les bois. La police ne l'avait toujours pas identifiée. On n'avait pas le plus petit début d'indice, songea Louise Rick, contrariée, en se garant sur le parking du département de médecine légale.[...]
C'était la deuxième semaine de Louise en qualité de directeur technique de l'agence des enquêtes spéciales, une unité qui venait de se créer au sein du département. Chaque année, entre mille six cents et mille sept cents personnes étaient portées disparues au Danemark. La plupart étaient retrouvées, quoique pas toujours en vie, mais, d'après les statistiques de la police nationale, un cas sur cinq de disparitions non élucidées était d'origine criminelle.
Le département de Louise avait pour tâche de résoudre ces affaires-là.
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Il s’agit d’une femme adulte, mais j’ai quelque difficulté à évaluer son âge. En ce qui concerne la cicatrice, je suis quasiment certain qu’elle n’a jamais été traitée. Sans doute s’agit-il d’un accident qui doit remonter à plusieurs années. Peut-être un liquide corrosif, ajouta-t-il, pensif. Il n’y a pas eu de greffe de la peau et elle a dû souffrir le martyre quand c’est arrivé.
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— Tu veux dire qu’elle était handicapée mentale ? demanda Louise.
— Disons qu’elle ne devait sûrement pas être une lumière.
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Il se mit à tousser comme si ses poumons avaient besoin d'être ramonés avant de commencer la journée.
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Elle n’arrivait pas à contrôler ses pensées depuis que la porte de son passé avait été rouverte. Elle avait mis tant d’énergie à enfouir les souvenirs douloureux qu’elle n’avait pas imaginé qu’ils auraient pu resurgir aussi aisément. Elle réfléchit, en toute objectivité, aux options qui s’offraient à elle. À son grand désappointement, il n’y en avait que deux : soit elle refilait l’enquête à Eik, soit elle mettait ses sentiments au placard et allait de l’avant. La première eût été un effroyable constat d’échec – et allait à l’encontre de tous ses principes.
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Quand son frère et elle étaient enfants, ils l’appelaient la « maison de pain d’épice ». Ils étaient persuadés que la vieille femme était une sorcière, car elle ne sortait jamais de chez elle, et ils s’imaginaient qu’elle se nourrissait d’enfants qui jouaient dans les bois. Plus tard, son père expliqua à Louise que la pauvre vieille était atteinte de sclérose et ne pouvait pour ainsi dire plus bouger sur ses dernières années. Elle se faisait livrer ses commissions par l’épicier de Hvalsø. Ce n’était donc pas un si grand mystère, après tout, songea Louise.
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