« Rongée par une peine insoutenable, j’ai pleuré pour l’étouffer. Bouffée par un éprouvant sentiment d’injustice, j’ai crié pour m’en débarrasser. Mais rien n’y fait. La souffrance ne m’abandonne pas. Elle est là, plus que présente et lourde. Elle me broie les entrailles, fendille mon cœur, réduit en cendres tout espoir d’aller mieux. »