Aux mystères d'un homme vigoureux souffrant d'une faiblesse de coeur le soir de ses noces, ou d'un jeune père en bonne santé succombant à une fièvre soudaine, mon écriture recelait toutes les réponses : nul coeur affaibli ni fièvre, mais du jus de pomme épineuse versé dans le vin, et de la belladone arrosant les tartes de femmes rusées dont les noms maculaient mon cahier.