Le tronc de la victime – une femme – n’avait plus ni bras, ni jambes, ni tête. Au niveau des extrémités tranchées, des amas grouillants de vers plongeaient dans les chairs en putréfaction pour s’en repaître.
Dans le silence du caveau, nous entendions distinctement le chuintement humide des asticots à l’œuvre. Par endroits, quelques larves blanches tombaient à terre à force de se tortiller.