« -Je le sais parce que je l'ai cloué au plancher il y a une heure ou deux. Je lui ai coupé les doigts pour le faire parler et, quand il a eu avoué tout ce que je voulais entendre, je lui ai tranché sa putain de langue avant de cautériser ce qu'il en restait.
Tout le monde dans la pièce le dévisagea.
- Je l'ai aussi traité de peigne-cul. Il n'a pas apprécié. »