Une maladie, le cancer, qui n’est pas de l’ordre du représentable.
D’ailleurs, quelle conscience pouvons-nous avoir du développement anarchique de nos cellules, des mutations génétiques qui transforment nos gènes en agents oncogènes ? A priori aucune, si l’on s’en tient à ce panorama biomoléculaire. Or, le cancer semble aussi empêcher toute possibilité de représentation, en ce qu’il induit l’émergence d’un réel caché, d’un point de vérité caché.