C’est d’abord la couverture qui m’a attirée. Les deux femmes, qu’on ne voit qu’à demi, qui en forment une complète malgré leurs différences… J’ai posé Les trois crocodiles et j’ai feuilleté le livre… Je me souviens de certains passages : « Chaque seconde survenant est un néant, effrayant comme une nuit sombre, excitant comme le plus noir des cafés. » Ou encore : « Son corps, à la fois fragile et délicat, tremblait devant cette nudité inconnue. Ce gouffre, en elle, ne se comblerait qu’en absorbant l’autre, en se laissant dévorer par cette passion mordante. »