C’est peut-être son corps, tout simplement, qui m’a subjuguée dès la première seconde. J’ai toujours observé les femmes pour me comparer. Ici, j’admirais les formes, cet élancement des courbes à chaque pas guerrier…
Ce qui m’a attirée, surtout, c’est l’inconnu. Pour la première fois depuis des années, ma vie déraille, sort des sentiers battus, se risque sur des terrains glissants. Chaque seconde survenant est un néant, effrayant comme une nuit sombre, excitant comme le plus noir des cafés.