Souvent les premiers signes cliniques d'une maladie neurologique ne sont visibles qu'après un processus dégénératif devenu irréversible. Lorsque la maladie consent à se manifester, il est déjà trop tard. On ne remplace pas un neurone qui meurt ; on ne peut que se contenter de préserver ceux qui restent. Et les moyens pour y arriver manquent cruellement.