Et, pour couronner le tout, je me suis retrouvé gardien de camp.…
Pour la première fois, j’ai compris ce que signifient la liberté, la cruauté, la violence. J’ai vu la liberté derrière les barreaux. Une crauté absurde comme la poésie. Une violence banale comme l’humidité.
J’ai vu l’être humain ravalé au rang de bête. Et j’ai vu ce qui peut encore lui procurer de la joie. Je crois que mes yeux se sont ouverts.