C'était cet équipage qui aurait à sonder le cœur du Titanic, qui jugerait s'il était loyal ou déloyal, capable d'affronter les mers, digne des mains expertes qui le manœuvreraient : ni l’autorité du capitaine, ni la publicité qui proclamait que Dieu lui-même n'aurait pu faire sombrer ce paquebot ne pouvaient influencer les mousses et les mécaniciens qui travaillaient dans ses entrailles.