Les mariages d'amour étaient considérés comme vulgaires, le bonheur domestique retombant en général aussi vite qu'un soufflé. La fâcherie conjugale était encore plus déconsidérée. Le sujet restait tabou, car la moitié des membres de la caste supérieure en avait fait la douloureuse expérience. Non, décidément il n'y avait qu'une sorte de mariage susceptible de traverser les vicissitudes du temps : l'entente cordiale.