Lorsque la gendarmerie investit les lieux, l’homme était sous le choc et avait du mal à s’exprimer. On lui posa quelques questions rapides et on lui signifia d’attendre. Il assista comme un zombie à l’installation du périmètre de sécurité, à l’arrivée du légiste qui s’empressait auprès du cadavre qui n’avait pas été déplacé et se trouvait toujours blotti dans ce fourré comme dans un nid.
On ne s’occupait pas de lui, mais il comprenait qu’il ne pouvait pas s’en aller.