Quant à ceux qui sont faibles devant la peur de la mort, il convient qu'ils soient
des objets de compassion, car tout être humain, s'il n'est pas fanatisé, est au moins par moments susceptible de cette faiblesse ; mais s'ils font de leur faiblesse une opinion à propager, ils deviennent criminels, et il est alors nécessaire et facile de les déshonorer.