"J'ai étais prête à aimer l'Amérique. Je tombai de haut. Ils... se penchaient sur l'Europe, sur la France, avec une arrogante condescendance. La discussion me parut souvent aussi vaine qu'avec des grands paranoïaques. J'entendis des étudiants, des professeurs,des journalistes se demander sérieusement s'il ne fallait lâcher des bombes sur Moscou avant que l'URSS ne fut en mesure de riposter. ..Ce qui m'inquiéta le plus, ce fut l'inertie de tous ces gens que harcelait une propagande égarée ...ils étaient incapables de penser, , de choisir, , de décider par eux-mêmes. Ils usaient dans tous les domaines de cet étalon abstrait , l'argent."