— Que diable peut l’avoir effrayé ainsi ? demanda-t-il.
— C’est la momie.
— La momie ? Comment, la momie ?
— Je l’ignore. C’est vilain, c’est malsain de fréquenter les momies. Je voudrais qu’il renonçât à ce passe-temps. C’est la seconde frayeur qu’il me donne. La même crise s’est produite l’hiver dernier. Je l’ai trouvé dans le même état, avec cette horrible chose devant lui.
— Qu’a-t-il besoin de cette momie, alors ?
— Oh ! c’est un gaillard, vous savez. C’est sa marotte. Il en sait plus sur ce sujet qu’aucun homme en Angleterre. Mais j’aimerais mieux qu’il en fût autrement.