Dana était fascinée par tout ce procédé. Pour celui qui le manipulait quotidiennement, le papier devenait un accessoire banal. Car l'habitude faisait oublier l'importance des choses. Et le papier en était une si merveilleuse. Il était l'ultime support permettant l'expression scripturale ou picturale de l'homme. Et, pour Dana, que ce fût pour dessiner, pour lire ou pour écrire, le papier était le centre de sa vie.