- Tu sais poruquoi j'aime autant le pantsula, Themba ? demandait-il. Parce qu'il me permet d'exprimer ce que je ressens, de raconter une histoire. Quand je danse, je me sens vivant. J'oublie tout : les disputes avec les parents, la poussière qui recouvre nos rues, et même parfois l'injustice de l'Apartheid. Cette musique, Themba, elle a les notes de l'espoir !