Mais la passion finit toujours par s'estomper. Toujours. Le quotidien est une bête vorace. Elle a vite fait de déchiqueter la ferveur pour mieux la dévorer avant de la digérer tranquillement dans un ordinaire qui n'en finit plus. C'est ainsi, c'est dans sa nature. Personne n'y échappe. p.194