Ce que je préfère, c’est qu’un marin revienne du port après des nuits d’ivresse et d’orgie et me raconte les nouvelles rumeurs qui courent à mon sujet. Je viole des religieuses, je cuis des fœtus à la broche, j’éjacule au visage de mes victimes, je mange des cœurs humains encore chauds, bref, ma vie et même mes romans ne pourront jamais être aussi délirants que ces commérages.