Un dilemme. Soit l’épidémie ravageait 50% de la population mondiale, soit le vaccin nous sauvait mais nous rendait tous stériles. Sur le moment, on a pensé que c’était la bonne décision. Mais maintenant que je contemple les jardins d’enfants complètement vides, je me demande si nous n’avons pas pensé à trop court terme…