Les cousins vendent la merde trente francs l’unité, jamais moins. Ils se protègent les uns les autres. Ils surveillent les accès grâce aux petits du quartier et, malgré l’envie de faire toujours plus d’oseille, je leur impose de tourner la vente d’une barre à l’autre. De la AA à la AD, c’est chaque jour, un hall différent. Aux camés de s’y retrouver.