Sa construction avait été financée par un donateur anonyme dont l’Histoire n’avait retenu que le pseudonyme : le comte de Phénix. Les lieux avaient été baptisés en hommage à ce généreux mécène. Au cours des deux derniers siècles, les plus illustres historiens s’étaient échinés à découvrir qui pouvait bien se cacher derrière ce flamboyant surnom. Mais, aujourd’hui encore, le mystère demeurait entier.