Stéphanie Alastra

Cette magnifique histoire ne fait que 19 pages (en format pdf) mais ce sont 19 pages de très très beaux dessins aux couleurs bienveillantes comme si elles prenaient soin d' un ange. 19 pages de douceur face à la douleur de la perte d'un enfant, 19 pages de douceur face au manque d'une soeur, de sa jumelle, de sa moitié.



19 pages suffisantes à me bouleverser, à me chambouler, à me faire pleurer. On ne peut comprendre ce que l'on ressent à la perte de son enfant, on peut compatir, on peut imaginer mais on ne peut ressentir ce manque, ce vide.



Merci à Essia et Stephanie pour ce magnifique ouvrage, pour avoir su toucher mon coeur de maman!



Maïlan et Maëlys, deux petites graines, deux petits anges unis à jamais!
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Certains livres sont si jolis que dès qu’on les a terminés, on les ouvre à nouveau. C’est le cas de Roucoule est amoureuse, un très bel album écrit par Karine Laurent dont chacune des illustrations de Stéphanie Alastra est un ravissement.



Même le plus endurci parmi tous ceux qui n’aiment pas les poules tombera sous le charme de Roucoule la poule, une poulette des plus mignonnes avec ses rondeurs et ses yeux de velours. Or, tout irait bien si elle était autre qu’une poule pour séduire le beau pigeon voyageur qui visite régulièrement le poulailler où vivent des poulettes toutes plus affriolantes les unes que les autres, vêtues des tenues que Roucoule coud à leur intention. Mais comment se démarquer de celles-ci? Comment se faire remarquer de Volafond le pigeon?



Un costume de tourterelle fera-t-il l’affaire? Peut-être, mais pour combien de temps?



Roucoule est amoureuse, un bel album sur les différences. Gai, drôle et poétique.
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Oh mon dieu, c'est magnifique comme extrêmement poignant à la fois. Je ne m'attendais pas à ça, je n'ai pas lu le résumé rien. Du coup, je suis vraiment partie sur une belle histoire et d'un coup le drame, enfin le drame pour nous adulte. Un enfant a moins, la notion de ce genre de chose. Et même si j'ai été triste de l'apprendre, je trouve que l'auteur a su tourner le texte d'une façon vraiment merveilleuse. L'auteur a su rendre une chose que nous, adultes, qualifieront d'incompréhensible pour un enfant. Mais ce sont les mots de cette petite Maïlan, qui font toute la beauté et la simplicité des choses. C'est assez merveilleux, de plus l'accompagnement des dessins très doux dans les tons pastel illustres parfaitement ce livre. Je pense que ce livre, est un livre que l’on doit vivre et ressentir et non se satisfaire d'un avis. Pour ressentir le côté poignant que j'ai eu, il faut le lire. Et je pense que mon avis vous paraîtra bien plus clair.



En conclusion, une véritable merveille. Malgré le côté assez grave que nous adultes allons percevoir, l'histoire est vraiment belle et joliment racontée pour des enfants. Mon avis est court, mais les mots ne sont parfois pas forcément la meilleure façon de décrire un livre, il y a des émotions qu'on ne peut pas vous transmettre tant que vous ne l'aurez pas lue. Je remercie Nats Edition pour ce petit moment aussi bien triste et poignant que merveilleux.
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Ce petit roman pour lecteurs débutants ( environ le premier cycle primaire) et adapté aux lecteurs ayant un trouble dyslexique, aborde un thème très pertinent de manière très amusante: la cyberdépendance ou la dépendance aux écrans.



Une petite famille adopte un Jack Russel, un animal qu'avait la mère étant jeune et dont elle garde de beaux souvenirs. "Charlie" est une jolie petite chienne et possède une vive intelligence. Lorsqu'il devient évident qu'elle aime regarder la TV et les écrans de cellulaires, les deux enfants lui apprennent même à peser sur les boutons de la télécommande et utiliser sa truffe pour naviguer sur le cellulaire. Bien vite, cependant, Charlie est toujours devant l'un ou l'autre des écrans, pique des crises si elle n'y a pas accès, va même jusqu'à manger uniquement si elle est devant un écran. Son comportement devient de plus en plus une source d'ennuis, si bien que la maman amène Charlie consulter un vétérinaire. Ce dernier ne peut faire qu'un constat: la dépendance de Charlie trouve racine dans le comportement familial. Donc pour venir à bout de son obsession pour les écran, toute la famille devra faire une cure. Au début, c'est la consternation, mais ensuite, la famille doit faire le constat qu'eux même sont souvent rivés à leurs écran. C,est ainsi que la petite famille doit revoir leur routine pour le mieux être de Charlie...et le leur!



J'ai bien aimé cette manière quelque peu détournée ( parce que c,est le chien qui est dépendant dans cette histoire) d'aborder le sujet de la cyberdépendance. Et j'aime encore plus le fait qu'on y trouve des solutions! Fermer les écrans pour l'heure du souper, prévoir des périodes de temps, trouver des hobbies qui n'impliquent pas les ordinateurs, TL, tablettes et autres gadjets, etc.

Pas besoin d'être dépendant pour mettre ses conseils en pratique, car en vérité, bon nombre d'entre nous sommes rivés souvent à nos écrans. Et comme cette histoire l'illustre bien, le fait d'être un groupe de personne à faire trop d'heures d'écran renforce l'impression que tout va bien. D'un autre côté, le côté "groupe" a aussi du positif: c'est plus facile de se motiver à faire autre chose quand on est plusieurs.



Un beau petit roman bien illustré, cocasse et très instructif, pour les 6-8 ans en montant!

Chaque jour Benjamin il attend l’heure du coucher avec impatience pour se faufiler dans sa chambre et se laisse aller à ses rêveries: il veut devenir un super-héros. Mais lorsqu’il y parvient par malheureux hasard, ce nouveau statut n’est pas de tout repos, et la célébrité n’est pas tout à fait à son goût.



Arrive alors l’élément perturbateur, le Pou, qui l’obligera à couper son invraisemblable chevelure… et à redevenir « Benjamin, un gars bien », tout simplement…



J’ai pris plaisir à faire la connaissance de Benjamin, un petit garçon presque comme les autres… si ce n’est cette incroyable touffe de cheveux qui prête à de multiples situations rocambolesques. Je remercie Babelio qui m’a permis de découvrir ce joli petit livre. Écrit comme une comptine, il est agréable d’en faire la lecture aux plus petits, qui retiennent rapidement les rimes. En plus d’être amusante, cette aventure originale est très bien illustrée. Racontée en images, l’histoire attire l’attention du jeune lecteur, et l’aide à en assimiler le déroulement. Couleurs vives, visages rieurs, clins d’œil humoristiques, les personnages sont mignons et attachants.



Ce petit livre a fait le bonheur d’un bambin de 6 ans, qui ne se lasse pas de « Benjamin et le pou », comme il l’a rebaptisé, et a gâté tout son entourage de dessins de Benjamin, vêtu de multiples capes !



A offrir sans hésiter !



Merci également aux éditions Nats pour leur sympathie.

Un mini album sur un petit garçon, sorte de mini Samson, qui découvre, le jour où son rêve devient réalité, que la vie de héros n’est pas si idyllique que ça.



Le texte se veut poétique, mais je le qualifierais seulement de rimé et, éventuellement, de rythmé. Il est sympathique, mais pas bouleversant de poésie. En outre, j’ai été parfois surprise par le découpage (et il y a un espace inutile dans le résumé, c’est un détail, je sais, mais un détail qui me choque immédiatement).

L’histoire est vendue comme le récit d’une amitié entre, découvre-t-on dans les ultimes pages, se nouerait Benjamin et un pou. Or, c’est loin d’être le cas : le pou permet simplement à Benjamin de retrouver son innocence de petit garçon, mais il reste un pou : pas de conscience, pas de volonté, pas d’échanges avec Benjamin. Bref, je ne vois pas d’amitié, mais ce serait éventuellement plutôt une histoire sur la célébrité : parfois ardemment souhaitée par les enfants (et les adultes), elle n’apporte pas forcément le bonheur dans ses bagages.



Les illustrations sont jolies en revanche. Et amusantes par certains détails : le « censuré » de la douche, le chat apeuré par l’arrivée planante de Benjamin, certaines expressions de ce dernier… Et j’adore la chevelure sauvage et bien peuplée du petit garçon.



En plus, j’avoue être déçue par l’apparence de l’ouvrage. Pas de cartonnage donc une grande fragilité, une petite taille : il ressemble plutôt à une réédition dans une collection moins chère qu’à une réelle nouveauté.



La découverte mitigée de deux auteurs et d’une maison d’édition.
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Souricette à perdu une dent mais ses amies les autres souris ne savent pas qu'est ce qu'elle doit faire :



aucune souris n'a un jour perdu de dents.



Elles ont toutes l'habitude soit de ramasser les dents des enfants, soit de les compter ou alors de récompenser les enfants en échange de leurs dents.



Ce livre répond aux questions que les enfants se posent sur comment font les souris pour récupérer les dents et qu'en font elles.



Les illustrations sont très jolies avec des couleurs chatoyantes qui donne envie de tournez les pages rapidement.



Ma fille à adoré la première page elle m'a crié "souris" les yeux émerveiller, elle à voulu que je lui imprime la première page pour pouvoir la tenir dans ses bras.



Ce livre permet aux enfants de croire plus longtemps à la petite souris, de rêver que cette souris toute mignonne viennent récupérer leurs dents.



Le texte très simple permet une compréhension facile.



Ma fille à aimer cette histoire avec toutes ces couleurs et ses souries toutes mignonne.

C'est une belle histoire véridique, écrite facilement et simplement pour la compréhension d'un enfant.
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C'est simple, facile à lire, attrayant... il y a tout ce qu'il faut pour plaire aux petits comme aux grands.
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Cet album est encore une jolie lecture, plutôt pour les garçons je pense.
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Un petit livre pour enfant tout en poésie. Benjamin est un super-héros d'un jour qui tire sa force des ses cheveux jusqu'au jour où...

Moi qui suis graphiste je suis particulièrement sensible à l'image avant le texte en ce qui concerne un livre pour enfant. J'ai beaucoup aimé le rendu des couleurs et les petits clins d'oeil un peu plus adulte (le censuré sur l'enfant dans sa douche).

Je regrette tout de même que la couverture soit si peu rigide. A peine reçu et mon petit frère avait déjà corné le livre.