Écrire pour raconter. Écrire pour mettre en lumière les souffrances, les incohérences du monde de la protection de l’enfance, et je sais ne pas avoir été la seule à les avoir subies. C’est aussi l’occasion de montrer l’absurdité d’un système mal ajusté et le combat que j’ai voulu mener face à ces injustices. J’avais ce grand besoin de dire ce que j’avais vécu, et surtout comment je l’avais vécu.