Les coups s’échangent, aussi. Les surveillants sont là, mais ils n’interviennent pas toujours en cas de bagarre entre détenus. Alors, pour un regard de travers, une politesse non rendue ou un service refusé, l’agressivité s’exprime, les coups pleuvent, les caïds gagnent encore quelques galons en montrant à tous qu’ils sont encore, quelque part, au-dessus des lois.