C'est la raison pour laquelle, dans la sentence, il était précisé que le prisonnier condamné serait "pendu par le cou jusqu'à ce que la mort s'ensuive". En effet, la chute du corps n'était pas toujours létale, le scénario le plus courant impliquant suffocation et vasoconstriction jusqu'à l'hypoxie. D'où ma fameuse "danse du pendu", pendant laquelle le condamné se débattait comme un beau diable avant de rendre l'âme au bout de plusieurs minutes. (p. 99)