Si elle leur avait laissé libre cours, ces moments qui la surprenaient auraient pu clarifier quelque chose pour elle ; la tristesse, l’humilié auraient pu engendrer la compréhension. Mais elle n’osait pas les laisser s’installer en elle, car ils faisaient partie d’un tout qui était trop pour elle qui était seule. Elle n’osait pas essayer de savoir, elle était comme quelqu’un qui la vie n’aurait pas accepté ; ce qu’elle offrait n’avait de sens et elle ne recevait rien en retour.