Pas facile, le col de Marsimik que nous escaladons ensuite.
Au début de l’ascension, toutes les cinq minutes, les chevaux s’arrêtent essoufflés ; plus haut à grand’ peine ils peuvent avancer ; toutes les minutes ils sont obligés de se reposer. Avec cela 30 centimètres de neige !
Lorsque le soleil perce les nuages, il brûle, mais vient-il à se voiler, c’est un froid cuisant.