Le Rhône avec sa coulée gigantesque, inarrêtable. Ses remous faussement calmes. Ses tourbillons dont l’apparente nonchalance n’avait d’égal que la force. Millions de mètres cubes de liquide dévalés des hauteurs pendant des centaines de kilomètres et qui touchaient là presque au but, la mer à moins d’une heure en aval, le fleuve impatient à présent.